#6 Quel volume d’entraĂ®nement pour prĂ©parer un marathon

Avant de voir le volume d’entraĂ®nement pour prĂ©parer un marathon, ne manquez plus aucun nouvel article et inscrivez-vous Ă  la newsletter et je vous offre ce livre gratuit, rempli d’astuces et de conseils pour vous aider Ă  progresser : COMMENT PREPARER UN MARATHON

Marathon
Course
Running

Quel volume d’entraĂ®nement pour prĂ©parer un marathon ?

La prĂ©paration pour un marathon varie d’une personne Ă  l’autre en fonction de plusieurs facteurs tels que le niveau de condition physique actuel, l’expĂ©rience en course Ă  pied, les objectifs personnels et la disponibilitĂ© de temps. Cependant, voici quelques lignes directrices gĂ©nĂ©rales pour vous aider Ă  planifier votre entraĂ®nement en termes de volume :

Commencez par une base solide

Avant d’entamer un programme d’entraĂ®nement spĂ©cifique pour un marathon, assurez-vous d’avoir une base de condition physique qui vous permet de courir confortablement pendant au moins 30 minutes Ă  une heure.

Pour construire une base solide qui vous permettra de courir confortablement pendant 30 minutes à une heure, il est important de progresser à un rythme adapté à votre niveau de condition physique actuel.

Voici un plan d’entraĂ®nement progressif sur huit semaines pour vous aider Ă  atteindre cet objectif. Assurez-vous de consulter un professionnel de la santĂ© avant de commencer tout programme d’entraĂ®nement intensif.

Quel volume d'entraînement pour un marathon

Semaines 1-2 : Établissement de la base

  • Jour 1 : Marche rapide ou jogging lĂ©ger pendant 20 minutes.
  • Jour 2 : Repos ou activitĂ© croisĂ©e douce (comme la natation, le vĂ©lo, le yoga).
  • Jour 3 : Marche rapide ou jogging lĂ©ger pendant 20 minutes.
  • Jour 4 : Repos.
  • Jour 5 : Marche rapide ou jogging lĂ©ger pendant 25 minutes.
  • Jour 6 : Repos.
  • Jour 7 : Marche rapide ou jogging lĂ©ger pendant 25 minutes.

Semaines 3-4 : Augmentation de l’intensitĂ©

  • Jour 1 : Marche rapide ou jogging lĂ©ger pendant 25 minutes, incluez quelques intervalles de course courte (30 secondes Ă  1 minute) Ă  un rythme plus rapide.
  • Jour 2 : Repos ou activitĂ© croisĂ©e douce.
  • Jour 3 : Jogging lĂ©ger pendant 30 minutes, avec quelques intervalles de course.
  • Jour 4 : Repos.
  • Jour 5 : Jogging lĂ©ger pendant 30 minutes, incluez des intervalles de course.
  • Jour 6 : Repos.
  • Jour 7 : Marche rapide ou jogging lĂ©ger pendant 35 minutes.
chemin de planches dans les bois

Semaines 5-6 : Allongement du temps de course

  • Jour 1 : Jogging lĂ©ger pendant 35 minutes, avec des intervalles de course.
  • Jour 2 : Repos ou activitĂ© croisĂ©e douce.
  • Jour 3 : Jogging lĂ©ger pendant 40 minutes, avec des intervalles de course.
  • Jour 4 : Repos.
  • Jour 5 : Jogging lĂ©ger pendant 45 minutes, avec des intervalles de course.
  • Jour 6 : Repos.
  • Jour 7 : Jogging lĂ©ger pendant 50 minutes.

Semaines 7-8 : Renforcement de la base

  • Jour 1 : Jogging lĂ©ger pendant 50 minutes, incluant des intervalles de course.
  • Jour 2 : Repos ou activitĂ© croisĂ©e douce.
  • Jour 3 : Jogging lĂ©ger pendant 55 minutes, avec des intervalles de course.
  • Jour 4 : Repos.
  • Jour 5 : Jogging lĂ©ger pendant 60 minutes, avec des intervalles de course.
  • Jour 6 : Repos.
  • Jour 7 : Jogging lĂ©ger pendant 60 minutes.

Ce plan est une suggestion gĂ©nĂ©rale et peut ĂŞtre ajustĂ© en fonction de votre niveau de confort et de progression. Si Ă  tout moment vous ressentez une douleur inhabituelle ou persistante, consultez un professionnel de la santĂ©. Après avoir Ă©tabli cette base, vous pouvez envisager des plans d’entraĂ®nement plus spĂ©cifiques pour des distances plus longues ou pour amĂ©liorer votre vitesse.

Homme victorieux en haut d'une montagne

Progression progressive

Augmentez progressivement votre volume d’entraĂ®nement pour Ă©viter les blessures. Une règle gĂ©nĂ©rale est d’augmenter le kilomĂ©trage total d’environ 10% par semaine. Voir l’article prĂ©cĂ©dent de la sĂ©rie Mon DĂ©fi d’articles : https://objectif-running.com/5-comment-augmenter-son-endurance/

Kilométrage hebdomadaire

Le kilomĂ©trage hebdomadaire typique pour un marathon varie gĂ©nĂ©ralement de 40 Ă  80 kilomètres par semaine, selon le niveau de compĂ©tence et les objectifs individuels. Certaines semaines, vous pourriez dĂ©passer ce chiffre, tandis que d’autres pourraient ĂŞtre des semaines de rĂ©cupĂ©ration avec moins de kilomètres.

Ce volume d’entraînement pour un marathon peut faire peur mais cette épreuve est exigeante.

Sorties longues

Intégrez des sorties longues dans votre programme. Ces courses devraient augmenter progressivement en distance pour vous préparer mentalement et physiquement à la distance du marathon. Les sorties longues peuvent aller de 25 à 32 kilomètres, en fonction de votre niveau de préparation.

Route Ă  travers la forĂŞt

Quel est l’intĂ©rĂŞt de faire des sorties longues ?

Les sorties longues sont un Ă©lĂ©ment clĂ© de l’entraĂ®nement en course Ă  pied, en particulier lors de la prĂ©paration pour des distances telles que le demi-marathon, le marathon ou des courses plus longues. Elles offrent de nombreux avantages pour les coureurs, Ă  la fois sur le plan physique et mental. Voici quelques-uns des principaux avantages des sorties longues :

  1. AmĂ©lioration de l’endurance aĂ©robie : Les sorties longues permettent d’augmenter la capacitĂ© aĂ©robie, c’est-Ă -dire la capacitĂ© du corps Ă  utiliser l’oxygène de manière efficace pour produire de l’Ă©nergie. Cela est crucial pour maintenir un rythme constant sur de longues distances.
  2. Adaptation mĂ©tabolique : Les sorties longues stimulent l’adaptation mĂ©tabolique, encourageant le corps Ă  devenir plus efficace pour brĂ»ler les graisses comme source d’Ă©nergie. Cela peut ĂŞtre particulièrement important pour les courses de longue durĂ©e oĂą les rĂ©serves de glycogène musculaire peuvent ĂŞtre Ă©puisĂ©es.
  3. Renforcement musculaire et articulaire : Courir sur de longues distances sollicite diffĂ©rents groupes musculaires et renforce les articulations. Cela contribue Ă  la prĂ©vention des blessures et Ă  l’amĂ©lioration de la stabilitĂ© musculaire.
  4. Enseignement du rythme : Les sorties longues sont l’occasion de travailler sur la gestion du rythme, ce qui est crucial pour rĂ©ussir des courses de fond. Apprendre Ă  maintenir un rythme confortable et constant sur de longues distances est une compĂ©tence clĂ©.
  5. Enseignement nutritionnel : Les sorties longues fournissent une opportunitĂ© pour expĂ©rimenter et ajuster votre stratĂ©gie nutritionnelle pendant l’effort. Cela inclut l’hydratation et la consommation d’Ă©nergie pour maintenir des niveaux optimaux tout au long de la course.
  6. Préparation mentale : Courir pendant une période prolongée peut être mentalement exigeant. Les sorties longues aident à développer la résilience mentale, à renforcer la concentration et à vous habituer au temps passé en mouvement.
  7. Accumulation de distance : Les sorties longues sont essentielles pour accumuler progressivement la distance totale de votre entraînement, en particulier lors de la préparation pour des événements de fond comme un marathon.
  8. Augmentation du volume d’entraĂ®nement : Les sorties longues contribuent de manière significative au volume total d’entraĂ®nement. Une augmentation progressive du volume est souvent associĂ©e Ă  des amĂ©liorations de la performance, Ă  condition qu’elle soit gĂ©rĂ©e de manière prudente.
Boire et manger pour préparer un marathon

Il est important d’intĂ©grer les sorties longues de manière progressive, en respectant votre niveau de condition physique actuel et en permettant une rĂ©cupĂ©ration adĂ©quate. Ces courses ne doivent pas nĂ©cessairement ĂŞtre rapides ; l’accent devrait ĂŞtre mis sur la distance et la durĂ©e. Consultez un professionnel de la course Ă  pied ou un entraĂ®neur pour Ă©laborer un plan d’entraĂ®nement adaptĂ© Ă  vos objectifs spĂ©cifiques.

décor de montagne

Inclure de la variété

En plus de la course Ă  pied, incorporez des sĂ©ances d’entraĂ®nement croisĂ©, comme la natation, le vĂ©lo ou la musculation, pour renforcer votre corps et Ă©viter la monotonie.

Inclure de la variĂ©tĂ© dans votre programme d’entraĂ®nement peut rendre vos sĂ©ances plus intĂ©ressantes, stimuler votre progression et rĂ©duire le risque de blessures liĂ©es Ă  la monotonie. Voici comment vous pouvez ajouter de la variĂ©tĂ© Ă  votre plan d’entraĂ®nement pour construire une base de 30 minutes Ă  une heure de course :

  1. Intervalles de vitesse : IntĂ©grez des intervalles de vitesse dans vos sĂ©ances. Après un Ă©chauffement adĂ©quat, accĂ©lĂ©rez pendant une courte pĂ©riode (par exemple, 30 secondes Ă  1 minute) suivi d’une pĂ©riode de rĂ©cupĂ©ration. Cela peut ĂŞtre fait sur une piste ou sur une route plate.
  2. Course en côte : Introduisez des séances de course en côte pour renforcer vos muscles et améliorer votre puissance. Trouvez une colline avec une inclinaison modérée et faites des répétitions de montées.
  3. Fartlek : Le fartlek est un terme suédois qui signifie « jeu de vitesse ». Alternez entre des périodes de course plus rapide et plus lente de manière informelle pendant votre course. Cela peut être fait en fonction des repères naturels tels que les lampadaires, les arbres, ou de manière plus libre.
  4. Course en groupe : Si possible, rejoignez un groupe de course. Courir avec d’autres personnes peut ajouter une dimension sociale Ă  votre entraĂ®nement et vous motiver Ă  rester rĂ©gulier.
  5. EntraĂ®nement croisĂ© : IntĂ©grez d’autres activitĂ©s comme la natation, le vĂ©lo, le yoga, ou la musculation dans votre routine hebdomadaire. Cela peut aider Ă  renforcer des muscles diffĂ©rents, amĂ©liorer la souplesse et prĂ©venir les blessures.
  6. Changements de terrain : Variez les surfaces sur lesquelles vous courez. Alternez entre le bitume, le gravier, l’herbe et les sentiers pour solliciter diffĂ©rents groupes musculaires et articulations.
  7. Jours de récupération actifs : Plutôt que de prendre des jours complets de repos, optez pour des jours de récupération actifs avec des activités à faible impact comme la marche, le vélo léger ou le yoga.
  8. EntraĂ®nement en montagne : Si possible, incorporez des sĂ©ances de course en montagne. La montĂ©e renforce les muscles des jambes de manière diffĂ©rente et amĂ©liore l’endurance.
  9. Course à allure marathon : Ajoutez des séances de course à allure marathon dans votre programme. Cela vous aidera à vous familiariser avec le rythme spécifique de votre objectif de course.
  10. Séances de renforcement musculaire : Intégrez des séances de renforcement musculaire spécifique pour améliorer la stabilité et prévenir les blessures. Cela peut inclure des exercices pour les jambes, le cœur et les muscles stabilisateurs.
Quel volume d'entraînement pour préparer run marathon

Adaptez ces suggestions en fonction de votre niveau actuel, de vos objectifs et de vos prĂ©fĂ©rences. L’ajout de variĂ©tĂ© Ă  votre programme d’entraĂ®nement peut non seulement amĂ©liorer votre condition physique, mais aussi rendre votre expĂ©rience de course plus agrĂ©able et durable.

Périodes de récupération

Intégrez des périodes de récupération dans votre programme pour éviter la surentraînement. Ces périodes peuvent inclure des semaines de kilométrage réduit et des jours de repos.

Vous pouvez aussi faire coïncider ces périodes avec les indisponibilités de de votre agenda, comme un déplacement professionnel ou une sortie familiale.

Paysage de vallée de montagne

Plan d’entraĂ®nement structurĂ©

le volume d’entraînement pour un marathon est conséquent alors il ne faut enchaîner les mêmes séances, au risque de vous dégouter sur la durée.

Au contraire, utilisez un plan d’entraĂ®nement structurĂ© qui inclut diffĂ©rentes intensitĂ©s d’entraĂ®nement, comme des sĂ©ances de vitesse, des intervalles et des courses Ă  allure marathon.

C’est quoi un plan d’entraĂ®nement structurĂ© ?

Un plan d’entraĂ®nement structurĂ© est un programme organisĂ© et progressif conçu pour atteindre des objectifs spĂ©cifiques en matière de condition physique, de performance sportive ou de santĂ©. Pour un plan d’entraĂ®nement structurĂ© en course Ă  pied, cela signifie gĂ©nĂ©ralement une planification dĂ©taillĂ©e des sĂ©ances d’entraĂ®nement sur une pĂ©riode donnĂ©e. Voici ce qu’un plan d’entraĂ®nement structurĂ© pour un marathon pourrait inclure :

  1. Objectifs clairs : Le plan d’entraĂ®nement commence par la dĂ©finition d’objectifs spĂ©cifiques. Cela pourrait ĂŞtre de terminer un marathon, d’amĂ©liorer votre temps de course, ou d’atteindre un certain niveau de condition physique.
  2. Évaluation du niveau de dĂ©part : Avant de commencer le plan, il est important d’Ă©valuer votre niveau de condition physique actuel. Cela permettra d’ajuster le plan en fonction de vos capacitĂ©s et de vos besoins spĂ©cifiques.
  3. Progression graduĂ©e : Le plan d’entraĂ®nement augmente progressivement en intensitĂ©, en durĂ©e et en volume au fil du temps. Cela Ă©vite le surentraĂ®nement et minimise le risque de blessures.
  4. Types d’entraĂ®nement variĂ©s : Le plan comprend une variĂ©tĂ© de types d’entraĂ®nement, tels que des courses longues, des sĂ©ances d’intervalles, des sorties Ă  allure marathon, des jours de rĂ©cupĂ©ration, et Ă©ventuellement des sĂ©ances de renforcement musculaire.
  5. FrĂ©quence d’entraĂ®nement : Il spĂ©cifie combien de fois par semaine vous devez vous entraĂ®ner. Cela peut varier en fonction du niveau de l’athlète, mais pour la plupart des plans de marathon, trois Ă  cinq jours d’entraĂ®nement par semaine sont courants.
  6. Jours de repos et récupération active : Le plan inclut des jours de repos nécessaires pour permettre à votre corps de récupérer. Certains plans peuvent inclure des jours de récupération active avec des activités à faible impact.
  7. PĂ©riodes de rĂ©cupĂ©ration : Il peut intĂ©grer des semaines de rĂ©cupĂ©ration oĂą le volume d’entraĂ®nement est rĂ©duit pour permettre une rĂ©cupĂ©ration optimale.
  8. Simulation de course : Certains plans incluent des courses simulĂ©es sur la distance du marathon pour vous prĂ©parer mentalement et physiquement Ă  l’Ă©vĂ©nement rĂ©el.
  9. Ajustements en cours de route : Un plan d’entraĂ®nement structurĂ© doit ĂŞtre flexible. Il doit permettre des ajustements en fonction de votre progression, de votre bien-ĂŞtre physique et de toute circonstance imprĂ©vue.
  10. Suivi et Ă©valuation : Il est important de suivre votre progression tout au long du plan. Cela peut inclure la tenue d’un journal d’entraĂ®nement, la surveillance des temps de course, et l’ajustement du plan en consĂ©quence.
Homme en plein exercice
Quel volume d'entraînement pour préparer un marathon

Un plan d’entraĂ®nement structurĂ© est souvent recommandĂ© pour maximiser les rĂ©sultats tout en minimisant le risque de blessures. Cependant, il est essentiel de personnaliser le plan en fonction de vos besoins individuels et de consulter un professionnel de la course Ă  pied ou un entraĂ®neur si possible.

Écoutez votre corps

Soyez attentif aux signes de surmenage ou de blessure. Si vous ressentez une douleur persistante, consultez un professionnel de la santé. Mais les signaux peuvent parfois être faibles au point qu’on les néglige.

Silhouette au coucher de soleil sur la plage

Comment Ă©couter son corps ?

Écouter son corps est une compĂ©tence importante pour optimiser sa santĂ© et sa condition physique. Cela implique d’ĂŞtre conscient des signaux que votre corps envoie et d’y rĂ©pondre de manière appropriĂ©e. Voici quelques conseils pour apprendre Ă  Ă©couter votre corps :

  1. Soyez conscient de vos sensations physiques : Portez attention à ce que vous ressentez physiquement. Cela inclut la fatigue, la tension musculaire, la douleur, la soif, la faim, etc. Prenez régulièrement des pauses pour vous « scanner » mentalement et évaluer votre état physique.
  2. Apprenez Ă  diffĂ©rencier les sensations : Apprenez Ă  faire la distinction entre les diffĂ©rentes sensations, qu’elles soient positives (comme la fatigue normale après l’entraĂ®nement) ou nĂ©gatives (comme une douleur inhabituelle). Écoutez les signaux de votre corps pour comprendre ce qu’ils essaient de vous dire.
  3. Adaptez votre entraĂ®nement : Si vous ressentez une fatigue excessive, des douleurs persistantes ou d’autres signes de surmenage, n’hĂ©sitez pas Ă  adapter votre programme d’entraĂ®nement. Cela pourrait signifier une rĂ©duction de l’intensitĂ©, de la durĂ©e, ou mĂŞme une journĂ©e de repos supplĂ©mentaire.
  4. Pratiquez la pleine conscience : La pleine conscience peut vous aider à être plus conscient de votre corps. Des techniques de méditation et de respiration peuvent vous aider à vous connecter davantage avec vos sensations physiques.
  5. Suivez votre rythme de récupération : Après un entraînement intense, assurez-vous de permettre à votre corps de récupérer suffisamment. Cela peut inclure une nutrition adéquate, un sommeil de qualité et des techniques de récupération active.
  6. Consultez un professionnel de la santĂ© : Si vous ressentez des douleurs persistantes, des problèmes de santĂ© ou des prĂ©occupations, consultez un professionnel de la santĂ©. Ne nĂ©gligez pas les signaux d’alarme qui pourraient indiquer des problèmes sous-jacents.
  7. Évitez la comparaison avec les autres : Chaque personne est différente, avec des niveaux de condition physique, des capacités et des besoins uniques. Écoutez votre corps en fonction de vos propres expériences et ne vous comparez pas excessivement aux autres.
  8. GĂ©rez le stress : Le stress peut avoir un impact significatif sur votre bien-ĂŞtre physique. Apprenez des techniques de gestion du stress, comme la mĂ©ditation ou le yoga, pour aider Ă  maintenir un Ă©quilibre entre le corps et l’esprit.

En fin de compte, l’Ă©coute de votre corps nĂ©cessite une attention constante et une rĂ©ponse appropriĂ©e Ă  ses signaux. Cela contribue non seulement Ă  Ă©viter les blessures, mais aussi Ă  amĂ©liorer votre bien-ĂŞtre gĂ©nĂ©ral.

2 coureurs de marathon

CONCLUSION

Voici la conclusion générale de cet article sur le volume d’entraînement pour un marathon.

En se prĂ©parant pour un marathon ou tout autre objectif en course Ă  pied, un plan d’entraĂ®nement structurĂ© et progressif est essentiel. Cela devrait inclure des Ă©lĂ©ments tels que des sorties longues pour amĂ©liorer l’endurance, des sĂ©ances variĂ©es pour stimuler la progression, et une Ă©coute attentive de son propre corps pour Ă©viter le surmenage et les blessures.

Les sorties longues jouent un rĂ´le crucial dans la construction d’une base solide, amĂ©liorant l’endurance, enseignant la gestion du rythme et renforçant Ă  la fois le corps et l’esprit. IntĂ©grer de la variĂ©tĂ© dans l’entraĂ®nement, que ce soit Ă  travers des intervalles de vitesse, des courses en cĂ´te, des entraĂ®nements croisĂ©s ou des changements de terrain, peut rendre l’expĂ©rience plus intĂ©ressante et bĂ©nĂ©fique sur le plan physique.

Finalement, Ă©couter son corps est une compĂ©tence fondamentale pour maximiser les bĂ©nĂ©fices de l’entraĂ®nement tout en minimisant les risques de surmenage ou de blessures. Cela implique une conscience constante des signaux physiques, des ajustements appropriĂ©s dans l’entraĂ®nement en rĂ©ponse Ă  ces signaux, et une attention particulière Ă  la rĂ©cupĂ©ration et Ă  la prĂ©vention des blessures.

En combinant ces éléments, les coureurs peuvent non seulement atteindre leurs objectifs en matière de course à pied, mais aussi cultiver une relation positive avec leur corps, favorisant ainsi une santé globale et un bien-être durable.

La course à pied, ce n’est pas seulement un sport, c’est surtout un choix de style de vie.

Que l’Oxygène soit avec vous !

Cet article fait partie de Mon DĂ©fi : un Marathon d’articles de conseils, Ă  dĂ©couvrir en cliquant ici

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