le marathon de Bruxelles, une belle épreuve dans une ville à découvrir.
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Le Marathon de Bruxelles : pas si plat que ça…
Le Marathon de Bruxelles, c’est pas si plat que ça… Et pourtant, « Le plat pays pays » qu’il chantait…
Et tout de même, je suis très reconnaissant au marathon de Bruxelles parce que j’ai appris beaucoup lors de mes deux participations.
J’ai choisi de courir à Bruxelles quand j’ai commencé à passer au marathon. En effet, après avoir couru le marathon de ma région du Nord, je voulais tester un autre marathon.
Le marathon Bruxelles présentait plusieurs avantages : celui de se tenir au second semestre, à 1h30 de la maison et de permettre les inscriptions même tardives.
Je l’ai donc couru deux fois. La première fois en 2008, il faisait très frais le matin et ça a eu des conséquences sur lesquelles je reviendrai plus tard. Et ensuite pendant la course, il s’est mis à pleuvoir. Tandis que la seconde fois en 2010, il faisait toujours un peu frais mais le soleil était de la partie. Vous devinez quelle participation m’a laissée un meilleur souvenir.
Quoiqu’il en soit, je suis un ardent défenseur du marathon de Bruxelles et j’encourage les runners à y participer. Le parcours ayant changé par rapport à mes précédentes participations, cela m’inite à le reprogrammer dans mes futures courses.
Le parcours
Voici le parcours 2023.
Quand on a un système digestif fragile, il faut le protéger sinon…
Et je me souviendrai toujours de la leçon que j’ai reçu lors de ma première participation. Cette fois-là, je suis arrivé très tôt, vers 6h00, en voiture le jour même de la course. Ce qui m’a permis de me garer à côté du départ de la course. Et comme il était tôt, j’avais prévu de petit-déjeuner dans la voiture. Ensuite je suis allé chercher à pied mon dossard à l’école militaire. Hélas, pendant le trajet à pied, j’ai eu froid.
Ensuite, il y a eu la longue attente d’avant course où j’ai continué à avoir froid.
Pendant la course, j’ai senti que quelque chose n’allait pas du côté de mon ventre. Et au fur et à mesure des kilomètres, j’ai été pris de coliques. Quand on a mal au ventre, j’ai appris que rien ne va plus. On n’avance plus et donc on a froid. Chaque kilomètre devient un chemin de calvaire. Pas de toilettes ou d’espace vert pour aller se soulager !
A cette époque, l’arrivée était sur la Grande Place de Bruxelles et au 39ème kilomètre, le parcours repassait par le parc du cinquantenaire.
Lorsque je suis arrivé à ce point-là, j’ai pensé arrêté. Donc j’allais abandonner et rejoindre mon véhicule stationné sur le côté… Et alors j’ai pensé aux toilettes mobiles installées pour le départ.
J’ai donc décidé de m’y rendre. Ce qui m’a libéré d’un poids et de tous mes maux. Ensuite, comme il ne restait que 3 kilomètres, j’ai choisi de continuer et j’ai fini.
Les 2 astuces pour être Finisher
Depuis cette mauvaise expérience, je fais toujours attention à ne pas attraper froid sur ma digestion et je prends un sachet de pansement gastrique type Smecta pour le repas de la veille et du matin.
Par ailleurs, pour ne plus attraper froid, j’ai maintenant pour habitude de porter des vieux vêtements que je jette sur le côté au moment du départ. A New-York, c’est même une astuce adoptée par la majorité des coureurs car l’attente avant départ est très longue et souvent fraîche (en 2011, il gelait à 6h00 du matin !). Et toujours à New-York, les vieux vêtements sont récupérés par des associations pour être donner aux sans-abris.
Voici le site officiel du marathon : http://www.brusselsairportmarathon.be/fr/
Et pour visiter Bruxelles, laissez vous guider par ces guides :
QUE L’OXYGENE SOIT AVEC VOUS !